Liste des poissons avec anisakis

Anisakis simplex est un nématode qui a besoin d’autres animaux pour accomplir son cycle de vie. Ce les loges parasitaires dans l’estomac des mammifères marins comme les baleines, les phoques et les dauphins, et leurs œufs, expulsés par les fèces, passeront à parasiter les poissons et les crustacés. Les larves de nématodes peuvent alors être trouvées dans le tissu musculaire de n’importe quel poisson marin.

De nombreux poissons et céphalopodes peuvent servir d’hôtes intermédiaires aux anisakis pour compléter leur cycle. En revanche, si les gens consomment du poisson contaminé par l’Anisakis sans l’avoir préalablement traité, ces vers blanchâtres trouveront un nouvel hôte, ce qui peut provoquer des réactions allergiques aux infections graves.

Plus récemment, la question du poisson contaminé par l’Anisakis a été mise sur la table, car la transformation du poisson en mer est devenue une pratique courante. Cela signifie que les viscères contaminés se retrouveront rapidement dans la mer, poursuivant ainsi le cycle de l’infection, tandis que d’autres poissons consommeront les restes contaminés et deviendront des hôtes.

Dans l’article suivant, nous vous proposons de plus amples informations sur Anisakis : symptômes et traitement.

L’anisakis se trouve dans les poissons de mer, malheureusement, parmi beaucoup de ceux que l’on trouve habituellement sur nos tables. Selon les données de l’Agence espagnole pour la sécurité alimentaire et la nutrition⁽¹⁾On estime que 36 % de tout le poisson que l’on trouve dans les marchés espagnols est infecté par l’anisakis. Voici ce que nous allons faire liste des poissons anisakis plus souvent :

• Le merlan bleu.
• Le maquereau.
• Merlu.
• Anchois.
• Le maquereau.
• Pijota.
• Cauchemar.
• Poulet.
• Haddock.
• La morue.
• Autres espèces touchées.

De même, selon les données disponibles, le poisson qui présente la plus grande pollution est connu pour provenir de la mer Cantabrique et de l’océan Atlantique. En revanche, seulement 6 % des poissons contaminés proviennent de la mer Méditerranée. Selon l’Agence de protection sanitaire de la Generalitat de Catalunya, environ 5% de la pêche sur la côte catalane est infectée par l’Anisakis.⁽²⁾

En revanche, dans la poissons d’eau douce et d’élevage le risque d’infection par Anisakis est pratiquement inexistante. Dans le cas des huîtres, des palourdes, des moules et des fruits de mer en général, le risque de contamination est minime. Mais, en outre, pour éviter tout risque d’infection, certaines mesures peuvent être prises, comme par exemple bien cuire le poisson ou, s’il doit être consommé cru, le congeler pendant au moins 24 heures à -20ºC. En effet, depuis 2006 en Espagne, un décret royal oblige les établissements à congeler le poisson de cette manière, s’il doit être servi cru ou semi-crue ; dans le but d’éviter la contamination par les Anisakis.

Selon la Fondation espagnole pour l’appareil digestif (FEAD), en 2012, certains 20 000 cas d’anisakiasis ont été signalés dans le monde. En 2011, 600 cas d’anisakioses ont été signalés en Europe. Le Japon est considéré comme le pays ayant la plus forte incidence d’anisakiasis au monde.

Le le poisson d’élevage sont exempts d’Anisakis, disent l’Association des producteurs de cultures marines (Apromar) et la Fédération européenne des producteurs aquacoles (FEAP), qui, par le biais de la recherche scientifique, cherchent à présenter une option totalement sûre pour les consommateurs et également reconnue comme telle. Ils affirment qu’aucun anisakis n’a été détecté chez les poissons d’aquaculture, qu’ils soient de mer ou d’eau douce.